En 1888, Julie présente au Salon de la Société nationale des Beaux-Arts « Les berceaux« , une toile certainement influencée par la maternité. Julie donne naissance en cette fin d’année à son unique enfant, Alice.
Critique de René Delorme (alias Saint-Juirs) dans La République française (Retronews) :
« De l’unité, de l’harmonie, nous en trouvons encore, dans un tableau de Mme Delance-Feurgard qui pourrait prendre pour titre : « la Symphonie en blanc et rose », et qui représente la rangée blanche des berceaux dans une crèche et le jeu des tout petits enfants déposés dans cet asile pendant les heures de travail. Cela est savant, réel, élégant, plein d’heureuses trouvailles et d’un effet charmant. »
Critique d’Edmond Bazire (alias Edmond Jacques) dans L’Intransigeant (Gallica) :
« Du reste, la lumière est aussi la qualité maîtresse de sa femme, Mme Delance-Feurgard, qui sait la faire jouer, dans sa crèche, sur la blancheur des-rideaux et la fraîcheur des figures enfantines. Ses
poupons sont peut-être bien un-peu des poupées. Mais l’ensemble de sa toile claire est charmant. »